mardi 5 octobre 2010

Palettes magiques

Théâtre de magie, d’objets, de musique et d’images.





LA MAGIE DU MAGICIEN


Un magicien avance dans un espace qui semble un atelier d’artiste.
Apparaissent en projection des toiles de grands maîtres
Usant des formes actuelles de la prestidigitation, le magicien
glane l’imaginaire des peintres sur la surface des tableaux. Des
fleurs surgissent entre ses mains, Il les dépose à la surface de
l’eau où elles font éclore celles peintes par Monet. Entre ses
doigts, les étoiles incandescentes de Van Gogh deviennent
lumière vivante. Les objets insolites de Magritte font des
passages surréalistes entre les mains ou dans la bouche du
magicien. Une noria de foulards colorés s’échappe des images
de Matisse. Une boule mystérieuse s’envole de l’univers de
Magritte et vient se poser dans les entrelacs de Kandinsky.


LA MAGIE DES LUMIÈRES ET DES IMAGES

Avec « Palettes magiques », Claude Moreau revient à son premier métier, la prestidigitation,
mais il n’oublie pas les féeries en grand format qui ont ponctué sa
carrière de metteur en scène. Dans l’intimité de la scène, avec la complicité et le
talent de Joseph Brettrager, il met à profit sa connaissance éprouvée des jeux
inépuisables que permet l’utilisation contemporaine des images et des lumières.
Leur magie propre s’allie au talent du manipulateur pour emporter petits et grands
dans un flot de métamorphoses oniriques.

PRÉSENCE DE LA MUSIQUE

Le magicien n’est pas seul sur scène. Parfois masquée derrière
un voile, parfois visible, une pianiste contribue en direct à l’action
dramatique et se fait Co magicienne.
Parfois filmées et projetées sur écran, ses mains d’où naît la
musique se croisent avec les doigts du manipulateur pour donner
forme au voyage de l’imagination. Imagination qu’on retrouve à la
source, dans le choix proposé par Sylvie Douche pianiste et musicologue
pour « Palettes magiques ». L’artiste s’est laissé porter
par sa sensibilité, mais aussi par sa grande connaissance de la
musique, pour proposer une partition polychrome allant de Bach
à John Cage, en passant par Satie, Schubert ou Ciurlonis, au gré
des images et des émotions.

CORRESPONDANCES

L’enfance admet sans difficulté les « correspondances » qui entraînent l’imagination d’un univers à un autre. C’est
même sa façon propre de penser. Les poètes, les peintres, les musiciens, les comédiens ont le don de faire vivre
dans l’âge adulte ce savoir originel. Ils lui donnent forme et qualité. Le spectacle « Palettes magiques » met en scène
la magie des métamorphoses entre images, sons et art vivant. Il le fait à travers des mises en forme musicales ou
artistiques que leur qualité ont inscrites dans le patrimoine culturel de l’humanité.
L’émerveillement porte la connaissance. C’est du fond de leur âme, à travers leurs émotions, que les spectateurs entrent
en contact avec les grands jalons de l’art : Matisse et Chopin et Sibelius, Satie et Kandinsky, Monet, Poulenc, Magritte,
Eche-Puig…Si, sortant du spectacle, ils en savent davantage, c’est d’abord sur lesmouvements de la sensibilité humaine.
Par surcroît, ils peuplent leur esprit d’images, de mélodies, de rythmes qui ont construit notre histoire culturelle.

A découvrir au Sudden Théâtre du 6 au 10 octobre 2010.

Télécharger le dossier de presse

Le monde selon Bulle

“Le monde selon Bulle”
de et par Agathe de la Boulaye

Mise en scène : Claude Mathieu, de la Comédie-Française

Le Cercle Européen, en partenariat avec Ideo Actes, vous invite à découvrir Agathe de la Boulaye dans "le Monde selon Bulle", un one-woman show délirant.

Comment faire partie d’un groupe quand on est en marge ?
Comment faire taire la peur de mal faire, la peur d’être soi-même ?
Comment s’adapter sans renoncer à ses rêves ?

A travers une panoplie de tableaux et une galerie de personnages, Agathe de la Boulaye dépeint nos travers, nos fragilités… et notre irrésistible envie de vivre.

“Je n’ai jamais vu un spectacle seul-en-scène aussi drôle, poignant et poétique. Entre Zouc, Michel Gondry et la comtesse de Ségur.”
Guillaume Gallienne, sociétaire de la Comédie-Française

Le 21 octobre à 19 h 30.
Durée : 1 h 15   
Tarif : 20 euros
Réservations : 06 16 42 64 52 / 06 86 73 07 97 / culturel@cercle-europeen.eu

mercredi 5 mai 2010

Vivaldi : Les 4 saisons et concertos rares par Igor Ramos Babkov

Les 4 saisons de Vivaldi par Igor Ramos Babkov
Soirée de soutien au projet éducatif dans le Nordeste brésilien


Le Cercle Européen organise une manifestation exceptionnelle en l’honneur de 24 jeunes gens âgés de 17 à 18 ans, désireux d’agir au sein d’une organisation humanitaire, la congrégation Notre Dame, dont l’action est située dans le Nordeste brésilien.

Ils récoltent des fonds en vue de partir au Brésil ; leur mission est multiforme et s’articule autour de la rencontre avec d’autres jeunes dont le mode de vie est très différent. Ils souhaitent apporter tout d’abord un soutien financier et logistique, par exemple en récoltant des matériaux de base comme des cahiers ou des crayons, ou encore en mettant en place des cours basiques d’informatiques. 
Mais ils cherchent également à nouer des liens solides avec les personnes rencontrées en organisant des activités communes comme des matchs de volley-ball ou des spectacles de danse et de musique.
Ces 24 jeunes français seront répartis en deux équipes : l’une ira s’établir sur le site de JOAO PESSOA, et l’autre s’installera sur le site de JUAZEIRO DO NORTE, à charge pour chacune d’apporter leur soutien aux associations œuvrant sur place. 
Par exemple, sur le site de JOAO PESSOA, ils participeront au projet Livro Em Roda, ou bibliobus, bibliothèque itinérante chargée de transmettre le goût de la lecture aux habitants de régions reculées. De façon générale, la ligne directrice du projet s’articule autour de l’enseignement que les lycéens dispenseront aux enfants et adolescents.

Ces jeunes viennent de toute la France et partiront du 18 juillet au 8 août. Afin que ces trois semaines au Brésil soient rendues possibles et mises à profit, ils doivent trouver des financements. 

Le Cercle Européen se propose de vous associer à cette initiative en participant à un concert organisé le 31 mai : Igor Ramos Babkov nous fait le privilège de s’associer à cette soirée et interprétera au violon accompagné de ses amis les 4 saisons de Vivaldi et les Concertos Rares.
« Admis au conservatoire de Moscou en 1989, Igor Ramos Babkov est invité par le ministre de la culture de Géorgie à intégrer le conservatoire de Tbilissi, comme unique représentant étranger. Il se voit donner des professeurs particuliers dans toutes les matières pour un enseignement privilégié de qualité. Il intègre les classes de Irakli Beridze et de Boris Tchiaoureli qui lui fait intégrer le Quatuor Tchiaroureli. Récent interprète à Paris des Quatre Saisons de Vivaldi, Igor Ramos Babkov est un virtuose d’une grande générosité  »

Informations pratiques :
Concert le lundi 31 mai à 20h
Ecole Notre Dame des Oiseaux - 12 rue Michel Ange 75016 Paris
Prix : 20 euros
Chèque à envoyer au Cercle Européen, 55 avenue Marceau 75116 Paris
Réservation :
  • par téléphone : 06 16 42 64 52
  • par mail : culturel@cercle-europeen.eu
  • en ligne :



mercredi 21 avril 2010

RODRIGO ALMEIDA The Poetics of Miscegenation


RODRIGO ALMEIDA
The Poetics of Miscegenation
3.04 au 15.05

De par ses origines Rodrigo Almeida est un brésilien typique (portuguais, brésilien, indien, et afro-brésilien). Son travail porte la marque d'une influence multiculturelle dans chaque aspect de sa conception. Son style est fait d'une multitude de fragments distincts de toutes ces influences culturelles qu’il assemble intuitivement ou émotionnellement.

Très loin d’un Design ultra-lisse, l’approche de Rodrigo Almeida s’inscrit dans la réalité brésilienne contemporaine, riche de son métissage et de son artisanat. Il nous donne à voir et nous raconte un Design latino-americain trop rarement représenté sur notre continent.


Le designer n’utilise que du MDF garantit «Green Label».
Déjà exposé à la Design Week de Milan et à Design Miami/Basel, Rodrigo Almeida a égalemet collaboré avec la Contrasts Gallery de Shangai de Pearl Lam à l’édition d’une de ses tables.

Dossier de presse disponible sur demande:
01 44 54 00 84 severine@fatgalerie.com ou aurelia@fatgalerie.com



Infos pratiques :

FAT GALERIE
1, RUE DUPETIT-THOUARS • 75003 PARIS
T. +33(0) 1 44 54 00 84  •  F. +33(0) 1 44 54 00 84

OUVERT DU MARDI AU SAMEDI DE 13H À 19H 

Portraits de Villes avec l’Agence Be-Pôles à la Galerie Philippe Chaume


Portraits de Villes avec l’Agence Be-Pôles : Harry Gruyaert, Lina Scheynius, Artus, Steve Hiett. Vernissage le jeudi 25 mars 2010 Exposition du 26 mars au 15 mai 2010


Chaque année l’agence Be-Pôles demande à 4 photographes/artistes de photographier 4 villes, ensuite sont édités 4 carnets de voyages retraçant le voyage de chacun des artistes. Pour inaugurer la sortie des livres « Carnets de Voyages » nous organisons une exposition dans la galerie. Cette année l’exposition commencera le 24 mars et se terminera le 15 mai 2010.
3 photographes exposés et 1 artiste « touche à tout » :
Harry Gruyaert : photographie Moscou en 1984 et à nouveau en 2009 pour les portraits de villes
Lina Schinius : photographie Sarajevo
Steve Hiett le célèbre photographe de mode des années 70 / 80 photographie New York
Artus accrochera dans la galerie des dessins, une peinture et des photographies prises à Pékin

Infos pratiques : 
La Galerie est ouverte du Mardi au Samedi 14h00 - 19h30 et sur rendez-vous
9 Rue de Marseille Paris 10eme, Métro République
0033 (0)1 42 39 12 60 - 0033 0(0)6 42 94 40 65
info@galeriephilippechaume.com


mercredi 14 avril 2010

Marie Espinosa en concert au Théâtre Le Mery le 17 mai 2010


Dans son premier album, La démarrante, Marie Espinosa se raconte en onze titres sur des envolées de piano, des airs d’accordéon, des ballades countrysantes, des ritournelles radieuses. Coup de foudre, course aux auditions, « rêves sans emploi », histoires d’un soir. C’est un autoportrait avec des larmes et des pastels, des rires et des soupirs et bien sûr des mots tendres et choisis chantés d’une voix mutine.

Après les premières parties de Calogero et Renan Luce, Marie Espinosa se produira seule sur la scène de l’Archipel à Paris le 18 février 2010 (COMPLET) et au Théâtre le Mery le 17 mai 2010 pour une date parisienne supplémentaire.

Infos pratiques :
THEATRE LE MERY
7, place de Clichy
75017 PARIS

Agrandir le plan


Les chansons naissent parfois d’un chagrin d’amour.
C’est le cas de Marie Espinosa, « charmante jeune fille de 26 ans » qui a écrit et composé un premier disque éclatant, La démarrante, après une rupture sentimentale.
Marie connaît bien la musique puisqu’elle a suivi une scolarité musiques/études très classique (piano, chant lyrique) à la maison d’éducation de la légion d’honneur avant de craquer, belle rebelle, pour un amoureux rock’n’roll. On la suit adolescente en Angleterre où elle découvre Emily Dickinson – citée dans son morceau ambigu Elle couche – et à Rio où elle passe son bac et découvre la bossa et la samba.
Son disque sera la bande-annonce de ses dernières années. Marie Espinosa est également actrice. Elle a tourné dans un film américain, The Keeper, de Kayvan Mashayek, et dans C’est Gravida qui vous appelle d’Alain Robbe-Grillet. Elle a aussi joué dans Le Temps des gitans, l’opéra d’Emir Kusturica et beaucoup écouté Barbara, Gainsbourg et Michel Berger, Nico, Radiohead, Lennon ou Nancy Sinatra. Mine de rien, elle lance à tous ces modèles des clins d’œil malicieux dans La démarrante. Une batterie qui sonne comme dans un Sean Lennon, une basse made in Gainsbourg, des messages personnels chers à Hardy.
Dans cet album où se succèdent les photographies sentimentales de sa vie, Marie se raconte en onze titres sur des envolées de piano, des airs d’accordéon, des ballades countrysantes, des ritournelles radieuses. Chacune de ses chansons a une humeur et un climat. Coup de foudre, course aux auditions, « rêves sans emploi », histoires d’un soir. C’est un autoportrait avec des larmes et des pastels, des rires et des soupirs et bien sûr des mots tendres et choisis chantés d’une voix mutine. Marie a collaboré avec Philippe Uminski pour les premiers refrains, au début de cette aventure, en 2007. Mais c’est toute seule qu’elle a posté L’Annonce sur MySpace. Une semaine plus tard, la salle parisienne Le Réservoir la programmait pour jouer dans un tremplin. Le producteur Marc Lumbroso ( JJ Goldman, Vanessa Paradis, Raphael) la découvre, et de fil en aiguille… voilà que déboule La démarrante, composé au piano, un vieux Gaveau, ou à la guitare, enregistré en partie à Nashville avec Joe Hardy ( ZZ top, Steve Earl) et en partie à Paris avec Jacques Ehrhart (Camille, H.Salvador). Un jour, Roman Romanelli (accompagnateur, entre autres, de Barbara pendant plus de 15 ans) est passé en studio. Marie s’en souvient encore, des sourires pleins la tête. C’est ça La démarrante. Ca commence sur un coup de blues, ça finit par un éclat de rires.

mardi 13 avril 2010

Du Greco à Dalí. Les grands maîtres espagnols. La collection Pérez Simón

Du 12 mars au 1er août 2010, le Musée Jacquemart-André accueille l’exposition « Du Greco à Dalí : les grands maîtres espagnols. La collection Pérez Simón ». 50 chefs-d’œuvre et plus de 25 maîtres, réunis par le goût sûr et raffiné d’un grand collectionneur, présentent un panorama exceptionnel de la création artistique en Espagne au cours des quatre derniers siècles.

HOMMAGE À L’ART ESPAGNOL AU MUSÉE JACQUEMART-ANDRÉ


Le Musée Jacquemart-André propose un ensemble encore jamais exposé en France.
L’exposition réunit des œuvres clés de différentes époques et de divers mouvements picturaux. Elle propose un passionnant voyage esthétique et artistique. Elle se construit autour d’un parcours thématique dans lequel chaque étape est l’occasion de confrontations inédites entre des maîtres de siècles différents permettant ainsi de souligner les traditions et les ruptures qui ont fait le succès de l’école espagnole.

Le siècle d’or de la peinture sacrée
Avec les œuvres du Greco, de Jusepe de Riberaet de Bartolomé Estéban Murillo, le visiteur plonge au cœur des différents visages de l’art de la réforme catholique. Les artistes, souvent influencés par la pensée mystique, traduisent un monde aspirant à la gloire céleste par de saisissants effets de clair-obscur. Puis le ténébrisme laisse place aux peintures lumineuses de Murillo, maître du baroque espagnol, qui a laissé à Séville de nombreux disciples. À cet art religieux répond un art profane dominé par les grands portraits de cour et la finesse d’un Goya.

Plus d'informations sur le site du musée :
http://www.musee-jacquemart-andre.com/fr/jacquemart/177-events/?displayType=DetailALaUne&eventId=505

Informations pratiques :
Musée Jacquemart-André :
158, bd Haussmann
75008 Paris
Tél. : 01 45 62 11 59
Fax : 01 45 62 16 36
Accès :
RER Charles de Gaulle - Etoile
Métro Miromesnil ou Saint Philippe du Roule
Autobus : 22, 28, 43, 52, 54, 80, 83, 84, 93
Parking :
Parking autobus gratuit (dépose-minute devant le musée).
Parking public : Haussmann Berry 24h/24 (au pied du musée).

Situation :
A 5 min des Champs-Elysées et des grands magasins.

Horaires d'ouverture :
Ouvert 365 jours par an, de 10h à 18h.
En période d'exposition, nocturnes le lundi soir jusqu'à 21h30.  
Le café est ouvert de 11h45 à 17h30.