mercredi 21 avril 2010

RODRIGO ALMEIDA The Poetics of Miscegenation


RODRIGO ALMEIDA
The Poetics of Miscegenation
3.04 au 15.05

De par ses origines Rodrigo Almeida est un brésilien typique (portuguais, brésilien, indien, et afro-brésilien). Son travail porte la marque d'une influence multiculturelle dans chaque aspect de sa conception. Son style est fait d'une multitude de fragments distincts de toutes ces influences culturelles qu’il assemble intuitivement ou émotionnellement.

Très loin d’un Design ultra-lisse, l’approche de Rodrigo Almeida s’inscrit dans la réalité brésilienne contemporaine, riche de son métissage et de son artisanat. Il nous donne à voir et nous raconte un Design latino-americain trop rarement représenté sur notre continent.


Le designer n’utilise que du MDF garantit «Green Label».
Déjà exposé à la Design Week de Milan et à Design Miami/Basel, Rodrigo Almeida a égalemet collaboré avec la Contrasts Gallery de Shangai de Pearl Lam à l’édition d’une de ses tables.

Dossier de presse disponible sur demande:
01 44 54 00 84 severine@fatgalerie.com ou aurelia@fatgalerie.com



Infos pratiques :

FAT GALERIE
1, RUE DUPETIT-THOUARS • 75003 PARIS
T. +33(0) 1 44 54 00 84  •  F. +33(0) 1 44 54 00 84

OUVERT DU MARDI AU SAMEDI DE 13H À 19H 

Portraits de Villes avec l’Agence Be-Pôles à la Galerie Philippe Chaume


Portraits de Villes avec l’Agence Be-Pôles : Harry Gruyaert, Lina Scheynius, Artus, Steve Hiett. Vernissage le jeudi 25 mars 2010 Exposition du 26 mars au 15 mai 2010


Chaque année l’agence Be-Pôles demande à 4 photographes/artistes de photographier 4 villes, ensuite sont édités 4 carnets de voyages retraçant le voyage de chacun des artistes. Pour inaugurer la sortie des livres « Carnets de Voyages » nous organisons une exposition dans la galerie. Cette année l’exposition commencera le 24 mars et se terminera le 15 mai 2010.
3 photographes exposés et 1 artiste « touche à tout » :
Harry Gruyaert : photographie Moscou en 1984 et à nouveau en 2009 pour les portraits de villes
Lina Schinius : photographie Sarajevo
Steve Hiett le célèbre photographe de mode des années 70 / 80 photographie New York
Artus accrochera dans la galerie des dessins, une peinture et des photographies prises à Pékin

Infos pratiques : 
La Galerie est ouverte du Mardi au Samedi 14h00 - 19h30 et sur rendez-vous
9 Rue de Marseille Paris 10eme, Métro République
0033 (0)1 42 39 12 60 - 0033 0(0)6 42 94 40 65
info@galeriephilippechaume.com


mercredi 14 avril 2010

Marie Espinosa en concert au Théâtre Le Mery le 17 mai 2010


Dans son premier album, La démarrante, Marie Espinosa se raconte en onze titres sur des envolées de piano, des airs d’accordéon, des ballades countrysantes, des ritournelles radieuses. Coup de foudre, course aux auditions, « rêves sans emploi », histoires d’un soir. C’est un autoportrait avec des larmes et des pastels, des rires et des soupirs et bien sûr des mots tendres et choisis chantés d’une voix mutine.

Après les premières parties de Calogero et Renan Luce, Marie Espinosa se produira seule sur la scène de l’Archipel à Paris le 18 février 2010 (COMPLET) et au Théâtre le Mery le 17 mai 2010 pour une date parisienne supplémentaire.

Infos pratiques :
THEATRE LE MERY
7, place de Clichy
75017 PARIS

Agrandir le plan


Les chansons naissent parfois d’un chagrin d’amour.
C’est le cas de Marie Espinosa, « charmante jeune fille de 26 ans » qui a écrit et composé un premier disque éclatant, La démarrante, après une rupture sentimentale.
Marie connaît bien la musique puisqu’elle a suivi une scolarité musiques/études très classique (piano, chant lyrique) à la maison d’éducation de la légion d’honneur avant de craquer, belle rebelle, pour un amoureux rock’n’roll. On la suit adolescente en Angleterre où elle découvre Emily Dickinson – citée dans son morceau ambigu Elle couche – et à Rio où elle passe son bac et découvre la bossa et la samba.
Son disque sera la bande-annonce de ses dernières années. Marie Espinosa est également actrice. Elle a tourné dans un film américain, The Keeper, de Kayvan Mashayek, et dans C’est Gravida qui vous appelle d’Alain Robbe-Grillet. Elle a aussi joué dans Le Temps des gitans, l’opéra d’Emir Kusturica et beaucoup écouté Barbara, Gainsbourg et Michel Berger, Nico, Radiohead, Lennon ou Nancy Sinatra. Mine de rien, elle lance à tous ces modèles des clins d’œil malicieux dans La démarrante. Une batterie qui sonne comme dans un Sean Lennon, une basse made in Gainsbourg, des messages personnels chers à Hardy.
Dans cet album où se succèdent les photographies sentimentales de sa vie, Marie se raconte en onze titres sur des envolées de piano, des airs d’accordéon, des ballades countrysantes, des ritournelles radieuses. Chacune de ses chansons a une humeur et un climat. Coup de foudre, course aux auditions, « rêves sans emploi », histoires d’un soir. C’est un autoportrait avec des larmes et des pastels, des rires et des soupirs et bien sûr des mots tendres et choisis chantés d’une voix mutine. Marie a collaboré avec Philippe Uminski pour les premiers refrains, au début de cette aventure, en 2007. Mais c’est toute seule qu’elle a posté L’Annonce sur MySpace. Une semaine plus tard, la salle parisienne Le Réservoir la programmait pour jouer dans un tremplin. Le producteur Marc Lumbroso ( JJ Goldman, Vanessa Paradis, Raphael) la découvre, et de fil en aiguille… voilà que déboule La démarrante, composé au piano, un vieux Gaveau, ou à la guitare, enregistré en partie à Nashville avec Joe Hardy ( ZZ top, Steve Earl) et en partie à Paris avec Jacques Ehrhart (Camille, H.Salvador). Un jour, Roman Romanelli (accompagnateur, entre autres, de Barbara pendant plus de 15 ans) est passé en studio. Marie s’en souvient encore, des sourires pleins la tête. C’est ça La démarrante. Ca commence sur un coup de blues, ça finit par un éclat de rires.

mardi 13 avril 2010

Du Greco à Dalí. Les grands maîtres espagnols. La collection Pérez Simón

Du 12 mars au 1er août 2010, le Musée Jacquemart-André accueille l’exposition « Du Greco à Dalí : les grands maîtres espagnols. La collection Pérez Simón ». 50 chefs-d’œuvre et plus de 25 maîtres, réunis par le goût sûr et raffiné d’un grand collectionneur, présentent un panorama exceptionnel de la création artistique en Espagne au cours des quatre derniers siècles.

HOMMAGE À L’ART ESPAGNOL AU MUSÉE JACQUEMART-ANDRÉ


Le Musée Jacquemart-André propose un ensemble encore jamais exposé en France.
L’exposition réunit des œuvres clés de différentes époques et de divers mouvements picturaux. Elle propose un passionnant voyage esthétique et artistique. Elle se construit autour d’un parcours thématique dans lequel chaque étape est l’occasion de confrontations inédites entre des maîtres de siècles différents permettant ainsi de souligner les traditions et les ruptures qui ont fait le succès de l’école espagnole.

Le siècle d’or de la peinture sacrée
Avec les œuvres du Greco, de Jusepe de Riberaet de Bartolomé Estéban Murillo, le visiteur plonge au cœur des différents visages de l’art de la réforme catholique. Les artistes, souvent influencés par la pensée mystique, traduisent un monde aspirant à la gloire céleste par de saisissants effets de clair-obscur. Puis le ténébrisme laisse place aux peintures lumineuses de Murillo, maître du baroque espagnol, qui a laissé à Séville de nombreux disciples. À cet art religieux répond un art profane dominé par les grands portraits de cour et la finesse d’un Goya.

Plus d'informations sur le site du musée :
http://www.musee-jacquemart-andre.com/fr/jacquemart/177-events/?displayType=DetailALaUne&eventId=505

Informations pratiques :
Musée Jacquemart-André :
158, bd Haussmann
75008 Paris
Tél. : 01 45 62 11 59
Fax : 01 45 62 16 36
Accès :
RER Charles de Gaulle - Etoile
Métro Miromesnil ou Saint Philippe du Roule
Autobus : 22, 28, 43, 52, 54, 80, 83, 84, 93
Parking :
Parking autobus gratuit (dépose-minute devant le musée).
Parking public : Haussmann Berry 24h/24 (au pied du musée).

Situation :
A 5 min des Champs-Elysées et des grands magasins.

Horaires d'ouverture :
Ouvert 365 jours par an, de 10h à 18h.
En période d'exposition, nocturnes le lundi soir jusqu'à 21h30.  
Le café est ouvert de 11h45 à 17h30.
 

Haut et Court - Photographies de Philippe Perrin

Philippe Perrin
Haut et Court
Who has the fun ? Is it always the guy with the gun ?
1986-2010

Du 14 avril au 13 juin, la Maison Européenne de la Photographie présente une rétrospective du travail de Philippe Perrin de 1986 à 2010, entre photographies et installations, un parcours dans l’oeuvre d’un artiste atypique.

Subversive, provocante, l’oeuvre de Philippe Perrin remet en question notre rapport à l’art. François Villon, le Caravage, Louis Mandrin, Arthur Cravan, Mesrine composent un panthéon sulfureux qui nourrit son inspiration. S’inventant une légende noire et dorée, Philippe Perrin est la figure virevoltante d’un monde où se mêlent fiction et réalité. Flingues, lames de rasoir, menottes, couteaux géants, couronnes d’épines sont autant de sculptures irradiant la galaxie Perrin. La photographie y est traitée sur le même plan que la sculpture, le dessin, la vidéo ou l’installation. Elle est le miroir décalé qui dresse l’autoportrait d’un artiste tour à tour voyou, brigand, boxeur, victime. Loin d’une rétrospective qui, telle une pierre tombale, figerait à jamais une oeuvre pleine de vie et de mouvement, cette exposition se veut plutôt une synthèse personnelle. Elle retrace l’itinéraire d’un artiste hors normes qui sait danser avec allégresse et humour au-dessus des abîmes et pour lequel « chaque exposition est une petite mort, et chaque oeuvre une nouvelle naissance ».
Jean-Luc Monterosso
Directeur de la Maison Européenne de la Photographie

Informations pratiques :
5/7 rue de Fourcy 75004 Paris
Tél. : 01 44 78 75 00
www.mep-fr.org
Pont-Marie ou Saint-Paul

Ouvert du mercredi au dimanche inclus.  Fermé lundi, mardi etjours fériés 

samedi 10 avril 2010

« The Story Of » 10 photographes racontent les Rolling Stones -1964 - 2006


Après avoir exposé «Serge Gainsbourg»,
Maurice Renoma poursuit son histoire
de style avec les « Rolling Stones » pour
une exposition unique, à la boutique
Renoma rue de la Pompe.
Maurice Renoma a habillé les célébrités
du monde entier de Serge Gainsbourg aux
Rolling Stones en passant par les Beatles
et Bob Dylan…toute une génération qui
avait la même énergie de rébellion et le
désir fulgurant de renverser les codes.
Renoma et les Rolling Stones ont incarné
une attitude inédite et provocatrice dès
les années 60, en marquant pour l’un
l’histoire de la mode et pour les autres
celle de la musique.
Jamais regroupés, dix grands photographes
des Rolling Stones participent à cet
événement exceptionnel : Michael Cooper,
Tony Frank, Claude Gassian, Gaëlle
Ghesquière, Michael Joseph, Jean-Pierre
Leloir, Gered Mankowitz, Maurice
Renoma, Dominique Tarlé et Pierre
Terrasson.

Exposition du 15 avril
au 17 juillet 2010
129 bis rue de la Pompe 75116 Paris
www.renoma-paris.com
Du lundi au samedi de 10h à 19h

Invitations au vernissage le 15 avril à demander à culturel@cercle-europeen.eu